Après des études à Polytechnique, l’EHESS et la London School of Economics, Fanny Henriet devient chercheuse au CNRS, rattachée à la Paris School of Economics. Elle enseigne également à l’École Normale Supérieure et à l’école Polytechnique.
Ses travaux visent à caractériser les politiques économiques capables de créer les incitations adéquates pour lutter contre le changement climatique. Elle défend la thèse qu’une politique environnementale mal pensée peut aboutir à un « paradoxe vert », c’est-à-dire aux effets inverses de ceux escomptés.
« La proposition de réforme de CCL France est non seulement efficace pour réduire les émissions mais aussi équitable, grâce à la redistribution du revenu climatique. »